Le Holocauste de Night City est une catastrophe nucléaire qui s'est produite avant les événements de Cyberpunk Red.
Contexte[]
Le 20 août 2023, une équipe d'infiltration dirigée par le Solo Morgan Blackhand et du Rockerboy Johnny Silverhand a tenté une mission pour voler/détruire la base de données sécurisée d'Arasaka dans les installations de la tour d'Arasaka. Au cours de l'assaut, un engin nucléaire de déni de zone, ou « bombe de poche » (pocket nuke), explose dans les étages supérieurs du bâtiment, ce qui détruit une grande partie du centre de Night City. Plus d'un demi-million de personnes sont tuées. Un autre quart de million de personnes meurent après l'explosion.
Aux yeux du public, le raisonnement qui sous-tend la détonation nucléaire n'est jamais dévoilé. Certains pensent que c'était le désir trop zélé de Militech d'écraser Arasaka, tandis que d'autres pensent que c'était une arme de déni de zone destinée à protéger les Tours d'Arasaka.
En quelques heures, la présidente américaine de l'époque, Elisabeth Kress, a nationalisé Militech par l'intermédiaire de son PDG, le général Donald Lundee, et de sa commission de réserve. Militech est placé sous le contrôle de l'armée américaine, encore importante, et a banni toutes les forces d'Arasaka de la partie continentale des États-Unis sous la menace d'une frappe de représailles contre le quartier général d'Arasaka à Tokyo. D'autres nations ont rapidement suivi l'exemple des États-Unis, nationalisant et/ou interdisant les avoirs des deux participants à la guerre.